[Vidéo] Pourquoi le CHO (Chief Happiness Officer) et le bonheur au travail sont-ils des daubes managériales ?

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L’essentiel en moins de 7’ de vidéo et réponses aux questions de Jacques Lambert (interview au salon des RH et au salon des CE)
 
  • Mais à quoi sert le C.H.O ?
  • Est-ce une fonction RH, un gourou, un chef scout ?
  • Ou le masque du désarroi des dirigeants et DRH face à la complexité de la souffrance au travail ?
  • Doit-on parler de bien-être au travail ? De bonheur au travail ?

Entre autres choses, on apprend dans cette interview que 40% des CHO sont des stagiaires (enquête de Joblift en 2016).

Martin Richer partage aussi ses 2 conseils pour améliorer la santé au travail en se passant d’un CHO :

Premièrement : remettre la focale sur le bien-être au travail et la qualité de vie au travail. Ceci correspond à la demande des salariés qui, dans toutes les enquêtes et baromètres, réclament de meilleures conditions de travail, du respect, de la reconnaissance, de la sécurité, des relations de qualité et enfin la thématique montante, une meilleure conciliation vie perso – vie pro. Travailler avec les managers de proximité, qui sont les principaux acteurs de la santé au travail.

Deuxièmement : mettre l’accent sur la prévention primaire, ce qui signifie travailler sur les impacts humains des transformations de l’entreprise, établir un bon partenariat avec la commission santé et sécurité du CSE, mettre en place des groupes d’expression sur le travail.

Il y a du chemin à faire. Enquête ADP Workforce View : 66 % des salariés pensent que leur employeur ne s’intéresse pas à leur bien-être.

A vous de jouer pour leur démontrer le contraire !

Crédit Image : Montage de Geoffroy de Boismenu

Pour aller plus loin :

Lisez la suite de cet article : « Les impostures du bonheur au travail » 

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